12-13/09/08. Fete de L' Huma.

Vendredi 12 septembre 2008. Fete de l' huma.

Coup de fil de Sylvain qui sur le chemin, fait demi tour car oubli de son ticket. Pas mieux pour Méline qui s' énerve dans sa caisse et qui doit traverser toute l Ile de France. Bon Sylvain finit par arriver chez moi et on file prendre le rer. La visite de cet "biiip" de pape fait que la station de rer St Michel est fermée. Merci. Donc métro, changements, ... "tu marches tel un robot dans les couloirs du métro". On arrive enfin à la station "Le Bourget". Plus l' habitude de prendre les transports en commun bondés... On squatte la terrasse du café face à la gare. Oedipe, pote à Sylvain nous rejoint. Mél n' est pas encore partie de chez elle. Le temps de boire quelques bières elle arrive enfin avec Gaelle et Eric. On passe chez Oedipe qui nous fait gouter le raki (Le rakı, appelé familièrement « lait de lion » (aslan sütü en turc) est une eau-de-vie de raisin turc aromatisée à l’anis. Il est consommé le plus souvent allongé d’eau, parfois « sec ». Notez l'absence de point sur le i de rakı (qui doit se prononcer comme un eu final français en tirant les lèvres comme pour faire un rictus, et non comme un i).
Le service est fait généralement dans deux verres de forme cylindrique, l’un contenant le rakı, l’autre l’eau et la glace, ou parfois, en particulier dans la région de Adana, du « şalgam suyu » jus de betterave pimenté.
N’étant pas sucré, il se boit non seulement en apéritif, mais également en cours de repas.
La région de production la plus fameuse est Tekirdağ en Thrace. La production de rakı en Turquie a fait longtemps l’objet d’un monopole détenu par la société d’état Tekel (monopole en turc) privatisée en 2004.
Les différentes qualités sont :
le yeni rakı (rakı nouveau) titrant 45%, dont l’alcool doit provenir à 65% de la distillation du raisin ;
l’altınbaş rakı (tête d’or) et le kulüp rakı (club) titrant 50%, dont l’alcool provient entièrement de la distillation du raisin.
Légende
On sert le rakı dans deux verres depuis l’histoire d’un certain calife qui, sous la pression des musulmans, avait interdit la consommation d’alcool dans l’empire. Il se rendit un jour incognito dans un débit de boisson, et s’étonna de voir les gens consommer deux verres d’« eau » à la fois.
On lui expliqua que c'était pour contourner la loi sur la consommation de l’alcool. Il aurait promulgué un décret autorisant la consommation de rakı, seulement dans 2 verres séparés." source wikipédia.)

Oedipe nous fait aussi gouter le jus de navet. Boisson qui accompagne le raki. Ca a vaguement un gout de betterave ou de bouillon de légume froid. Apparemment je suis le seul à aimer. Bon on décide finalement de bouger à la teuf de L' Huma... on est un peu venu pour ça aussi. Cette année pas de systéme de bracelet comme les années précédentes mais un billet avec deux talons "samedi" et "dimanche". On se dirige vers la scène Zebrock. On squatte un stand. On retrouve Lola et Nath deux potes à Gaelle. Et tout le monde part à droite à gauche, revient,... J' arrive à ma faire offrir deux bières et un coca par les mecs des stands, sans trop batailler en plus... c' est cool. J' écoute distraitement comme les autres je pense l' hommage à Béranger. J' aperçois Marcel et son Orchestre et les Raoul Petite. Méline a un coup de fatigue. Ca a pas l' air d' aller du tout. Un camion de la sécu vient la récupérer. Sylvain et moi accompagnons Méline jusqu' au poste de secours. bon un peu de repos et tout rentre dans l' ordre. Ca me donne l' occas de voir le défilé de mecs bourrés, la tête en sang des fois, ceux qui boitent, ... On discutaille avec les infirmières, je me fais offrir un café... il est bienvenu car ca commence à cailler. Vers les 4h je vais réveiller Méline dans la salle qui fait office de dortoir. Elle a récupéré à priori. Elle grelotte, je lui file mon sweat. Les infirmières font remarquer à Méline qu' elle a des potes sympas. Ben ouais on est juste des ... potes. On rejoint la gare. On a du bol on arrive juste pour le premier rer. Bien gérée l' affaire... Bon alors pas de photo pour l' instant car Gaelle est partie avec mon apn. Arrivée à la maison sur les coups de 06h. Je regarde mes mails. Les lèves tôt sont déjà connectés. Moi, je vais me coucher... Merci à Gilbert qui ne lira surement jamais ces lignes pour l' invit... les invits...

Samedi 13 septembre 2008. Fete de l' huma...

El dictator (tiens y a longtemps que j' avais pas appellé Sylvain comme ça) passe après 15h30. Il semble être aussi peu en forme que moi. Enfin passer la nuit devant la prte d' un poste de secours use le festivalier. Cette fois c' est en caisse que l' on se rend sur le lieu des festivités. On ne se faisait pas d' illusion, c' est le bordel en arrivant. On rejoint un parking. Sept euros. Bienvenue. Et on rejoint le site à pieds. On entend au loin Arno sur la grande scène. Ah j' aurais bien voulu (re)voir ce que ça donne. Tant pis. On se ballade tranquillement dans les allées de la fête avant de décider d' aller manger. On trouve de quoi se nourrir sur un stand de bouffe asiatique. Pas mauvais l' affaire. Je m' offre un jus de gingembre histoire de tenter de retrouver des forces. Ni le Perrier, ni les deux thés à la menthe ne réussiront à me donner la pêche... On rejoint la grande scène pour écouter Bashung. Pas l' air en forme le bonhomme. Gaelle nous rejoint. On se rapproche du stand Aubervilliers pour retrouver Nathalie et des potes. De là, on écoute distraitement Baby Shambles. Ce groupe m' agace. Joker. On déambule à nouveau dans les allées avant de quitter Gaelle et la fête. On cherche un moment la sortie. Retour au parking. Retour à la maison pas trop tard.

Merci à tous ceux qui ont partagé ces deux jours. Gaelle, Méline, Sylvain, les nouvelles têtes, Lola, Nathalie, Eric, Oedipe, ...