26/07/08. Festival Fnac indétendances.
Pas beaucoup de motivés pour aller sur la plage de Paris. Enfin la plage, rien à battre en fait. C' est au festival Fnac Indétendances que nous nous interesserons. Jeannot vient bouffer. Euh, vazy mollo la prochaine fois sur la vodka. C' est pas celle que tu trouves à Carrouf que tu as bu mais bien celle que j' ai été chercher sur place. Donc méfiance. A consommer avec mode et ration. Direction Auster et on rejoint le 12 eme et le quartier de Gare de Lyon à pieds. On retrouve Francis à la terrasse du Dido. Petite mousse trankil en regardant passer les minettes. Sport favori de Cisco. Jeannot, fatigué, s ' eclipse... On rejoint le pont de Sully tranquillement. On a loupé Rubin Steiner et Demago. Dommage, j' aurais bien voulu voir ce que donne Démago en live. On arrive en fait juste avant que ne commence Tanger. Musicalement c' est pas mal du tout mais Francis partage mon avis, le chant c' est pas du tout ça. On écoute poliment deux ou trois chansons avant de prendre la décision de se ballader sur Paris Plage histoire de passer le temps. Je regarde au passage si j' aperçois Ellie qui nous attendrait du côté de l' ingé son. Bon, je ne m ' inquiète pas, on se voit demain. Notre petite ballade effectuée, on rejoint la scène juste au moment où les Bellrays attaquent leur set. Groupe très efficace, péchu, bien rock and Roll. De bons musicos et une chanteuse black bien présente. Mélange de rock musclé, de rythm And blues. Quelques ballades un peu plus calmes et ennuyeuses mais c' est pour mieux rebalancer la sauce derrière. Tiens, tonton Albert est là. Je le salue. Toujours la pêche le bonhomme. Le groupe clos le set avec un "highway to hell" survitaminé repris en coeur par le public enjoué. Je crois que le concert s' achève vers les 22h30. Une bonne découverte donc. Retour à la maison.
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