3.5.06

Printemps de Bourges. 29/04/06



Samedi 29 avril 2006. Printemps de Bourges. Gare d Austerlitz. 09h09 départ du train 3721. Changement à Vierzon et 20 minutes plus tard arrivée en gare de Bourges. Nous (A. et moi) remontons l avenue face à la gare pour rejoindre le centre ville. Je connais le chemin, cela fait plusieurs années que je viens faire mon pèlerinage dans la cité berruyère. Petit détour par la cathédrale. Quelques clichés. Le plateau de 20h10 pétantes, émission animée par Stéphane Bern est présent encore cette année à côté de l édifice. Nous rejoignons le quartier où se tient le gros des animations. Le lieu est encore calme en cette fin de matinée. Visite des stands de t-shirts, artisanat africain, bijoux, … A la boutique officielle du printemps, je trouve des t-shirts des éditions précédentes à 5 euros. Chez un artisan africain, je trouve un instrument de musique dont j ai oublié le nom. Instrument composé d une demi coque ou sont placées des lamelles métalliques que l on fait vibrer avec le pouce. Et il est l heure de manger un morceau. On s installe à la terrasse improvisée d un vendeur de sandwiches et autres kébabs. Rien d exceptionnel mais le soleil est de la partie et cette petite pause est bienvenue. On entend les balances du " Phénix " tout près. On continue la ballade vers cette salle. J aperçois la caravane chromée de Ray Cocks, animateur d émissions enregistrées en direct des festivals. Caravane dans laquelle il fait jouer les groupes en acoustique avant qu ils ne montent sur scène. Je visionnerais l émission le lendemain pour voir les prestations live de Artic Monkeys, Deus, Dyonisos, Anis ou encore Cali. Les groupes commencent à jouer sur les scènes extérieures. Parmi eux, une fanfare que j ai souvent croisée. Les fameux Tarace Boulba. Cette fois, c est l affluence. Le groupe sort son nouvel album. Nous regardons quelques instants et remontons tranquillement vers la gare pour prendre le 17h35. Direct jusqu à Paris. Arrêt en pleine voie pour cause d incendie sur la voie. Effectivement on passe à côté d un entrepôt dévasté par les flammes. Une odeur âcre envahit le wagon. C est impressionnant. Arrivée à Austerlitz vers 20h30, soit une heure de retard… Certains auraient préférés périr carbonisés dans les flammes… ;-)