27.9.07

30/09/07. The Police. Stade de France.

Réveil à 07h40. Le radio fonctionne depuis 10 minutes. Je ne l' entends pas. Petit dej, douche, dring. Je descends. Sylvain et moi rejoingnons Malakoff. Aujourd' hui, lendemain de fête, on fait le Paris Versailles, course pédestre de 16 bornes. 3 heures de sommeil, peu de temps pour m ' entrainer correctement ces derniers jours. Ca risque d' être rock and roll. On passe donc par Malakoff récupérer Yves qui nous dépose en voiture dans le secteur de la Tour Eiffel ou a lieu le départ. On a du bol, il fait beau, pas encore super froid, on est en short plus t shirt. Un beau dossard épinglé dessus, une puce accrochée aux lacets qui permet de connaitre son temps. Petite anecdote qui me fait marrer, il y a un groupe de coureurs clope au bec, t shirt "1664". On sera peut être pas les derniers finalement. La course se déroule finalement bien. Plus de peur que de mal. Quelques montées costaudes mais à force d' en parler, finalement ca nous a permis d être prêt psychologiquement et d' affronter la fameuse "côte des Gardes" sereinement. Deux heures plus tard, on franchit la ligne d' arrivée. On y a été trankil et on a fini la course bien, content...
On retrouve Yves qui est venu nous récupérer en caisse. Bouchons interminables sur Versailles. C' est le gros bazar. On rejoint Malakoff. Douche, bouffe en milieu d' aprem, rugby... Cela ne me passionnant pas plus que ça, je ferme les yeux quelques minutes, je lutte. Je ne suis pas le seul. Je vois la tête d' Yves tomber en avant. Sylvain s' est vautré dans le canapé... Cécile parait en forme.
On rejoint St Denis en métro. C' est une première pour moi de rentrer au Stade de France. Quand on accède au stade je n' ai pas cette impression de grandeur que l' on m' avait décrite. Mais en y regardant de plus prêt, les gens qui sont tout en haut des gradins paraissent vraiment minuscules. On prend un truc à bouffer. Purée, 7 euros pour un sandwich qui n' a vraiment rien d' exceptionnel et une boisson, c' est un peu abusé. Bon, c' est vrai je ne suis pas obligé de rentrer dans le systéme. Simple Plan ouvrent le bal. Rien de transcendant. Le fils de Sting est au chant et à la basse. On reconnait l' affiliation dans la voix. Malheureusement, ça ressemble énormément à ce que fait son père mais sans en atteindre le niveau. Bon , le gars a l' air de chanter pas mal quand même mais l' ensemble est plutôt ennuyeux à part deux ou trois morceaux qui sortent du lot.
Arrive Police. Ce qui me fait plaisir dans le set, c' est qu' il ne se contente pas de faire les tubes mais ils piochent un peu aussi dans tout le répertoire. J' apprécie bien "Driven To tears" que surement peu connaissent. Le son est particulièrement bon. On voit pas mal finalement. Les jeux de lumière sont très efficaces. Derrière le groupe, sont projetées des images. Enfin, l image du groupe est aussi projetée derrière eux, ce qui fait qu on a l impression qu ils sont plus près. On est en fait super loin de la scène. Physiquement, Sting s' en sort bien par rapport à Copeland (batteur) et Summers (guitare) qui ont pris un sérieux coup de vieux. On ne reste pas jusqu' à la fin car la nuit dernière courte et la course du matin nous ont bien calmés. On retourne sur Malakoff récupérer la caisse et retour sur le 94. Merci à Farid de nous avoir dégoté des places à 28 euros. J' aurais au moins vu une fois le groupe que j' ai écouté et ré écouté durant toute mon adolescence...

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Salut Steph,
Comme d'hab je peux dire un excellent commentaire, pour ma part le concert de Police était excellent, le son trés bon, le jeux de scène aussi d'ailleurs. Par contre effectivement un peu déçu par le fils de Sting, à part la voie mais sinon le reste rien d'exceptionnel pour sa prestation.
Sylvain.

17:10  

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