13/07/08. Festival Latino Roc. Cauterets.
Dimanche 13 juillet 2008.
On n' est que samedi alors que je commence à écrire les premières lignes de ce nouveau post. Simone* m' a appelé en début d' aprem pour me dire qu' il y avait un petit soucis concernant la garde de sa fille et que par conséquent l' escapade sur Cauterets était remise en question. Elle doit me rappeler ce soir 21h. Et j' ai un train de nuit à 23h11. Pas très grave mais me voilà coincé chez moi en attendant l' appel de Bernadette* qui décidera de la suite de l' histoire...
23h53. C' est finalement bon. Mais je ne prends plus un train de nuit mais le 07h15 demain matin. TGV jusqu' à Bayonne et Corail après jusqu' à Lourdes ou je dois retrouver Céline*. Puis bus jusqu' à Cauterets. Tous les trains sont archi complets. J' ai pas de résas. Ca va être rock and roll !
Lever sur les coups de 5h du mat. Couché tard, pas la grande forme. Rer, métro, arrivé à Montparnasse, je me dirige vers les distributeurs de billets afin de voir, sans trop y croire si il reste des réservations jusqu’ à Bayonne mais tout est blindé. Je passe par le relay prendre un bouquin (« ou es tu ? » de Levy…) histoire de tuer les 7h de train que je vais affronter. Je me présente au contrôleur pour voir si je peux prendre ce tgv sans résa. Il acquiesce. Je m’ installe sur un strapontin jusqu’ à Bayonne. Place moins inconfortable que je ne le pensais. A côté de moi, deux mecs, pas de place non plus, à priori des conducteurs de train de Villeneuve d’ après les bribes de conversations que j’ entends. Je pense en reconnaître un mais pas sûr… Trajet pas si long que ça finalement. Je descends à Bayonne où je prends un Corail pour Lourdes. A mon grand étonnement il est vide. Deux ou trois personnes dans la voiture où je me trouve. Je pensais galérer pour trouver une place assise… Le train se remplira finalement tout au long du trajet. Je retrouve Olivia* sur la gare de Lourdes et on prend le car jusqu’ à Cauterets. Il y en a à peu près pour une heure. Paysages sympas tout au long du trajet. Arrivés à destination nous cherchons un emplacement tranquille pour poser la tente. Option camping sauvage. Pas de place vraiment adéquate et le relief accidenté ne facilite pas les choses. On se rabat sur le camping. Laurence* reçoit un coup de fil. Sa fille est malade et ca n’ a pas l’ air d’ aller du tout donc elle doit partir… Je suis un peu deg d’ avoir fait 900 bornes pour pas grand-chose. On s’ installe en terrasse. Elle reçoit finalement un autre appel pour l’ informer que ça va mieux. Ouf... On reste. Le camping est sympa malgré son nom « Les Glères », ses consignes « courir vers le haut en cas d’ inondation » accompagné d’ une photo impressionnante d’ une rivière en crue, « wc chimiques Le vidoir prévu à cet effet se trouve près du dépôt de gaz face aux jeux d' enfants», aire de jeu grillagé sous le niveau du sol avec des murs très hauts. Pour ne pas que les enfants s’ échappent ? Néanmoins, l’ accueil est très sympa et on obtient le dernier emplacement libre. On retourne dans le centre pour écouter Mala Vita devant la mairie. Groupe dont l’ album est produit par Gambeat (basse Radio Bemba). Concert sympa. Chant en basque qui me rappelle Negu Gorriak avec un accordéon dans le groupe. On rejoint ensuite le festival qui a lieu sous un chapiteau. Je voyais ça plus grand. Vraiment pas beaucoup de monde quand on arrive. Les gens arrivent plus tard au fur et à mesure. Jarabe de Palo ouvre le bal. Alexandra* aime bien. Moi, je n’ accroche pas. Rock hispano, variété…Par contre, les musiciens sont très très bons. Roy Paci prend la suite. Je n’ aime pas trop sur album mais en live c’ est vraiment bien. L’ ex trompettiste de Manu Chao gère bien. Forcément, quelques cuivres dans son groupe. C’ est ska, rock, funk,… beaucoup d’ énergie… Très bonne prestation. Je vais tchatcher avec un mec qui porte la chemise « Manu Chao Radiolina » de la Tombola Tour. Il m’ informe qu’ il était à Toulouse. Pendant le concert de Roy Paci, je l’ aperçois sur la scène.
On se pose sur les bancs de l’ ancienne gare où est accolé le chapiteau pour écouter Superamazoo qui prennent le relais. C’est un mélange de rock, jungle. Groupe qui vient de Belgique. J’ accroche pas non plus. On écoute distraitement, il est tard… (…) On zappe la fin et on rejoint le camping (…). On n’ a pas vraiment prévu le matériel adéquate pour dormir dehors en montagne. Ca caille bien. D’ ailleurs, même en pleine journée, j’ ai dû acheter une polaire. Réveil trankil. Je prends une petite douche réparatrice avant que l’ on démonte et range la tente. On prend le bus de 12h50 pour rejoindre Lourdes vers 14h. On trouve un petit resto indien près de la gare. Menu végétarien. C’est excellent. Malheureusement on mange un peu rapidement car je dois prendre le 14h54. Dommage je serais bien resté un peu plus longtemps… On quitte le lieu vers 14h50. Et je monte dans le tgv avant que les portes ne se referment. Voiture 20. Je remonte tout le train, m’ installe et rejoint le bar pour acheter deux bouteilles d’ eau en prévision des 05h30 de trajet. Trajet long. J’ alterne lecture, sieste, somnolence, lecture, sieste, somnolence… Arrivée sur Montparnasse à 20h30. Métro. Rer. Retour at home. Merci à Véronique* pour tout…
*le prénom a été modifié.
On n' est que samedi alors que je commence à écrire les premières lignes de ce nouveau post. Simone* m' a appelé en début d' aprem pour me dire qu' il y avait un petit soucis concernant la garde de sa fille et que par conséquent l' escapade sur Cauterets était remise en question. Elle doit me rappeler ce soir 21h. Et j' ai un train de nuit à 23h11. Pas très grave mais me voilà coincé chez moi en attendant l' appel de Bernadette* qui décidera de la suite de l' histoire...
23h53. C' est finalement bon. Mais je ne prends plus un train de nuit mais le 07h15 demain matin. TGV jusqu' à Bayonne et Corail après jusqu' à Lourdes ou je dois retrouver Céline*. Puis bus jusqu' à Cauterets. Tous les trains sont archi complets. J' ai pas de résas. Ca va être rock and roll !
Lever sur les coups de 5h du mat. Couché tard, pas la grande forme. Rer, métro, arrivé à Montparnasse, je me dirige vers les distributeurs de billets afin de voir, sans trop y croire si il reste des réservations jusqu’ à Bayonne mais tout est blindé. Je passe par le relay prendre un bouquin (« ou es tu ? » de Levy…) histoire de tuer les 7h de train que je vais affronter. Je me présente au contrôleur pour voir si je peux prendre ce tgv sans résa. Il acquiesce. Je m’ installe sur un strapontin jusqu’ à Bayonne. Place moins inconfortable que je ne le pensais. A côté de moi, deux mecs, pas de place non plus, à priori des conducteurs de train de Villeneuve d’ après les bribes de conversations que j’ entends. Je pense en reconnaître un mais pas sûr… Trajet pas si long que ça finalement. Je descends à Bayonne où je prends un Corail pour Lourdes. A mon grand étonnement il est vide. Deux ou trois personnes dans la voiture où je me trouve. Je pensais galérer pour trouver une place assise… Le train se remplira finalement tout au long du trajet. Je retrouve Olivia* sur la gare de Lourdes et on prend le car jusqu’ à Cauterets. Il y en a à peu près pour une heure. Paysages sympas tout au long du trajet. Arrivés à destination nous cherchons un emplacement tranquille pour poser la tente. Option camping sauvage. Pas de place vraiment adéquate et le relief accidenté ne facilite pas les choses. On se rabat sur le camping. Laurence* reçoit un coup de fil. Sa fille est malade et ca n’ a pas l’ air d’ aller du tout donc elle doit partir… Je suis un peu deg d’ avoir fait 900 bornes pour pas grand-chose. On s’ installe en terrasse. Elle reçoit finalement un autre appel pour l’ informer que ça va mieux. Ouf... On reste. Le camping est sympa malgré son nom « Les Glères », ses consignes « courir vers le haut en cas d’ inondation » accompagné d’ une photo impressionnante d’ une rivière en crue, « wc chimiques Le vidoir prévu à cet effet se trouve près du dépôt de gaz face aux jeux d' enfants», aire de jeu grillagé sous le niveau du sol avec des murs très hauts. Pour ne pas que les enfants s’ échappent ? Néanmoins, l’ accueil est très sympa et on obtient le dernier emplacement libre. On retourne dans le centre pour écouter Mala Vita devant la mairie. Groupe dont l’ album est produit par Gambeat (basse Radio Bemba). Concert sympa. Chant en basque qui me rappelle Negu Gorriak avec un accordéon dans le groupe. On rejoint ensuite le festival qui a lieu sous un chapiteau. Je voyais ça plus grand. Vraiment pas beaucoup de monde quand on arrive. Les gens arrivent plus tard au fur et à mesure. Jarabe de Palo ouvre le bal. Alexandra* aime bien. Moi, je n’ accroche pas. Rock hispano, variété…Par contre, les musiciens sont très très bons. Roy Paci prend la suite. Je n’ aime pas trop sur album mais en live c’ est vraiment bien. L’ ex trompettiste de Manu Chao gère bien. Forcément, quelques cuivres dans son groupe. C’ est ska, rock, funk,… beaucoup d’ énergie… Très bonne prestation. Je vais tchatcher avec un mec qui porte la chemise « Manu Chao Radiolina » de la Tombola Tour. Il m’ informe qu’ il était à Toulouse. Pendant le concert de Roy Paci, je l’ aperçois sur la scène.
On se pose sur les bancs de l’ ancienne gare où est accolé le chapiteau pour écouter Superamazoo qui prennent le relais. C’est un mélange de rock, jungle. Groupe qui vient de Belgique. J’ accroche pas non plus. On écoute distraitement, il est tard… (…) On zappe la fin et on rejoint le camping (…). On n’ a pas vraiment prévu le matériel adéquate pour dormir dehors en montagne. Ca caille bien. D’ ailleurs, même en pleine journée, j’ ai dû acheter une polaire. Réveil trankil. Je prends une petite douche réparatrice avant que l’ on démonte et range la tente. On prend le bus de 12h50 pour rejoindre Lourdes vers 14h. On trouve un petit resto indien près de la gare. Menu végétarien. C’est excellent. Malheureusement on mange un peu rapidement car je dois prendre le 14h54. Dommage je serais bien resté un peu plus longtemps… On quitte le lieu vers 14h50. Et je monte dans le tgv avant que les portes ne se referment. Voiture 20. Je remonte tout le train, m’ installe et rejoint le bar pour acheter deux bouteilles d’ eau en prévision des 05h30 de trajet. Trajet long. J’ alterne lecture, sieste, somnolence, lecture, sieste, somnolence… Arrivée sur Montparnasse à 20h30. Métro. Rer. Retour at home. Merci à Véronique* pour tout…
*le prénom a été modifié.
4 Comments:
C'est Bernadette Soubirou...
bon ok je sors...
Sly
Ouais ouais sors ! ;-)
Stef.
Hi Hi Hi ... Stef construit son mythe, encore un peu ...
Salut Steph bon comme d'hab un super contrendu, avec un peu d'objectivité excéllent.
Sly
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