No One is Innocent. 25/04/07. Virgin Champs Elysées.
No One is Innocent. 25/04/07. Virgin Champs Elysées.
Je quitte mon domicile sur le coup des 16h30. Je monte de justesse dans un rer qui s’ apprête à repartir. Quelques minutes plus tard, je descends à Invalides pour rejoindre les Champs tranquillement. Je suis en avance, les températures sont estivales. La soit disant plus belle avenue du monde charrie son flot de touristes en short et appareil photo en bandoulière. Ils suivent comme des zombies le même parcours, prennent les mêmes photos,… La poussière soulevée par une légère brise me pique les yeux.
Je me rapproche du Virgin et aperçois Kemar, chanteur des No One avec deux autres personnes. Je vais le saluer. On parle du fanzine « Kérozène » dont le nom figure sur mon t shirt. Je lui demande si il reste des invits pour le concert privé qu ils donneront demain au Trabendo. Il note mon nom. Deux invits m’ attendent à l‘entrée. Enfin il y a peu de chance que je puisse y aller. J’ ai eu ce vieux réflexe de demander de faire partie des invités pour le concert du lendemain sans trop réfléchir. D’ ailleurs je suis un peu deg de ne pas pouvoir y aller. Je suis en avance du coup, j assiste aux balances. Vraiment pas grand monde encore. Je traîne dans les allées du Virgin. Le show case fini par commencer. Une première partie en acoustique. Avec « looser » de Beck comme à la Fleche il y a quelques jours. Reprise des Stooges également. Il n y a pas trop de monde et le groupe a du mal à démarrer. A moins que ce ne soit moi qui ai du mal à rentrer dans le mouv. On enchaîne par une interview rondement menée par Dom Kiris, animateur de Oui Fm. Je vois enfin sa bouille après avoir entendu sa voix pendant des années. Ca parle du nouvel album évidemment. Du rapport de l’ actualité politique et des nouvelles compos. Des anciens albums. De la manière de composer. Et on enchaîne sur la seconde partie du show case. Deuxième partie électrique cette fois. Et au fil des chansons la mayonnaise commence à prendre. Doucement mais surement. Cette fois, il y a un public honorable et l ambiance commence à chauffer. Reprise de « personnal Jesus » de Depeche mode . Audrey arrive. Rebecca sa fille, se bouche les oreilles. Yann doit être coincé au taf. Quelques titres des précédents albums me rappelle des bons souvenirs du temps ou je voyais le groupe dans un petit bar de banlieue devant une trentaine de personnes. Nostalgie...
Je me rapproche du Virgin et aperçois Kemar, chanteur des No One avec deux autres personnes. Je vais le saluer. On parle du fanzine « Kérozène » dont le nom figure sur mon t shirt. Je lui demande si il reste des invits pour le concert privé qu ils donneront demain au Trabendo. Il note mon nom. Deux invits m’ attendent à l‘entrée. Enfin il y a peu de chance que je puisse y aller. J’ ai eu ce vieux réflexe de demander de faire partie des invités pour le concert du lendemain sans trop réfléchir. D’ ailleurs je suis un peu deg de ne pas pouvoir y aller. Je suis en avance du coup, j assiste aux balances. Vraiment pas grand monde encore. Je traîne dans les allées du Virgin. Le show case fini par commencer. Une première partie en acoustique. Avec « looser » de Beck comme à la Fleche il y a quelques jours. Reprise des Stooges également. Il n y a pas trop de monde et le groupe a du mal à démarrer. A moins que ce ne soit moi qui ai du mal à rentrer dans le mouv. On enchaîne par une interview rondement menée par Dom Kiris, animateur de Oui Fm. Je vois enfin sa bouille après avoir entendu sa voix pendant des années. Ca parle du nouvel album évidemment. Du rapport de l’ actualité politique et des nouvelles compos. Des anciens albums. De la manière de composer. Et on enchaîne sur la seconde partie du show case. Deuxième partie électrique cette fois. Et au fil des chansons la mayonnaise commence à prendre. Doucement mais surement. Cette fois, il y a un public honorable et l ambiance commence à chauffer. Reprise de « personnal Jesus » de Depeche mode . Audrey arrive. Rebecca sa fille, se bouche les oreilles. Yann doit être coincé au taf. Quelques titres des précédents albums me rappelle des bons souvenirs du temps ou je voyais le groupe dans un petit bar de banlieue devant une trentaine de personnes. Nostalgie...
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